Insomnie et reencuentro

Pour une étrange raison, je me suis retrouvé à ne pas pouvoir dormir ou difficilement. Au fur et à mesure que le temps passait, cette insomnie passagère m'amenait à lui donner une forme. Une forme de  bloc de béton comme celui que l'on trouve sur les autoroutes pour séparer les voies opposées. Peu probable et pourtant si présent sur le moment. Ce bloc, ou cette dalle, je ne sais comment vraiment la définir, m'appuyait sur la clavicule gauche, en un point précis, limitant mes mouvements. De fait, j'avais l'impression d'avoir le bras gauche et la cage thoracique du même côté bloqués également. L'envie de me dégager côtoyait un sentiment latent et fort à la fois de résignation. Attendre. Attendre. Attendre...

Caverne aux Hirondelles, Ile de la Réunion

C'est alors que je crus m'endormir. Instantanément ou peut-être bien plus tard, je rêvais. Un rêve étrange aux allures de cauchemar tout d'abord. Je me trouvais face à la Caverne aux Hirondelles de Saint Joseph, sauf qu'on pouvait y pénétrer, et même la fermer. Les épreuves commencèrent, une course tout d'abord, impossible de courir, même du haut de mes grandes jambes, ces personnes plus petites qui normalement ne pouvaient aller aussi vite, me laissaient derrière, à la traîne. Dernier, et on riait, ce n'était pas une fin en soi. Les épreuves terminées, une cérémonie.

Alors que celle-ci touchait à sa fin, débarquèrent les personnes que j'attendais le moins. Beaucoup de gens autour de moi, quelques assistants du MCS dans la masse recevaient aussi de la visite. Pour ma part, ce fut ma famille qui arriva en premier : mon père, ma mère, mes frères, mon oncle de Paris, mon cousin, un de mes frères, Alexis, arriva avec avec un très bon ami, Redha. Tous ensembles, il portaient quelque chose dans une bâche et jusqu'à la fin je ne saurais pas ce dont il s'agissait.

Ambiente bastante raro, surgió mi antigua compañera de piso, Alison, me saludó y fue a ver otra chica, amiga suya, también conocida mia. Luego surgieron, a mi hermanita de mentira, María y su novio y amigo mío Andrés, me sentí como un niño super feliz al verlos, cosa que no es propio de mí, les di un fuerte abrazo a los dos, venían con otro amigo, Manu ; ahí fuera el tiempo era muy radiante y el cesped se veía muy verde. Ya cayó la noche, la fiesta iba muy bien, toda la gente hablando de cosas u otras. El colmo de la sorpresa, fue cuando sonó salsa, así de repente, tuve un pensamiento muy fuerte pensando en mi compañera de baile y amiga, aquella a quien le gusta bailar salsa en cuanto suena, esté donde esté. Pensé que era una lástima que no estuviera aquí para bailar conmigo, que ella sí hubiera bailado. Sorpresa extrema al ver salir a Charlène de por ahí y preguntarme porque no estaba bailando, sin saber porque lloré, igual que un niño pero de alegría. Momento de felicidad entre gentes de las más importantes para mí. A penas tuve tiempo de hablar que tocó el timbre del despertador.

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Si tuviera que fijarme en las personas muy concretas que aparecieron en este sueño, diría que son las personas más lejos de mí ahora mismo, faltan muchas personas de gran importancia para mí, pero aquellas personas, a lo mejor no andan tan lejos.